C’est avec cette énergie qui les caractérise que chaque vigneron a apporté sa pierre à notre édifice.Les plus anciens ont légué savoir-faire et vignes à leurs enfants, qui ont eux-mêmes poursuivi l’aventure avec nous. D’autres, nous ont rejoint parce qu’ils voulaient faire partie de la « famille » des coopérateurs.Tous ont un point commun : ils aiment leur patrimoine, le Beaujolais et ses terroirs.
Père d’une petite fille de 2 ans, Guillaume a repris le domaine familial de 10 hectares il y a 9 ans. Mais mon père, qui a plus de 70 ans, vient toujours m’aider à la vigne, il aime trop son métier pour l’oublier !
Il aime être dehors, quel que soit le temps et parcourir les coteaux pentus du Beaujolais, accompagné de son jeune chien… Des bas de coteaux, qui sont en appellation Moulin-à-Vent aux hauts de coteaux en Fleurie et Juliénas, le paysage change complètement… D’une vigne à l’autre, le travail n’est pas du tout le même, et pourtant c’est toujours du Gamay ! Le meilleur moment de ma journée ? C’est au petit matin, quand, de ma vigne, je vois le Mont Blanc qui se dessine dans le ciel à quelque 200 kilomètres de là.
Jonathan a tout du grand frère. Il a su communiquer sa passion de la terre à son frère, Morgan. Cette passion, elle vient de leur père, vigneron aussi. On a été élevé dans les vignes ; alors aujourd’hui on aime être dehors, que ce soit dans nos vignes, au bois ou à la pêche… On n’aime pas trop s’éloigner de notre Beaujolais, c’est ici qu’on se sent le mieux !
S’ils ont chacun leur parcelle, l’un en Fleurie, l’autre en Chiroubles, ils aiment travailler ensemble.
A la fin de la journée, on regarde ensemble le travail accompli ; ensuite on se retrouve chez l’un ou l’autre, autour d’un verre de Fleurie et on se raconte des histoires de vignes…
Coopérateurs à la Cave de Fleurie depuis toujours, ils sont convaincus par leur choix.
Mère et fils. Annie et Nicolas ont chacun leur domaine et travaillent ensemble. Nous mutualisons les moyens ; comme avec la Cave de Fleurie ! Les tâches à la vigne sont faites en commun: Annie taille, attache, ébourgeonne,… Quant à Nicolas, il s’occupe en plus des travaux mécanisés. Tout au long de la campagne, les décisions sont prises en famille…
Mais pendant les vendanges ; c’est Annie qui dirige la troupe !
Les vignes qu’ils exploitent sont familiales. Ma famille a de la vigne en Fleurie depuis de nombreuses générations mais nous sommes coopérateurs depuis les années 1950.
Nicolas, quant à lui a acquis des vignes en Chénas. Il y a une grande complicité entre la mère et le fils. La vigne c’est une véritable histoire de famille.
C’est le levé du jour qu’Hervé aime le plus. Arpenter ses vignes illuminées par les premiers rayons du soleil reste pour lui un moment magique. Il a repris l’exploitation familiale en 1996. Comme son père, il est devenu coopérateur à la Cave de Fleurie. Il aime l’ambiance et la démarche de la cave. Il y a un bon esprit et on sent une volonté de toujours aller de l’avant. C’est motivant.
Il y a 3 ans, il décide de replanter une partie de ses vignes en Chardonnay, élargissant ainsi la gamme de la Cave de Fleurie. C’est un nouveau challenge pour moi. J’ai choisi les parcelles avec attention pour que le Chardonnay s’y sente bien.
Cette femme, hors du commun, prit les rênes de la Cave de Fleurie en 1946. Elle en assuma la responsabilité pendant près de 40 ans, avec une vision sans faille. Première femme présidente d’une cave coopérative en France, sa forte personnalité lui permit d’imposer ses idées dans un milieu essentiellement masculin et volontiers machiste ! Affirmant ses convictions, dans le franc-parler qui lui appartenait, elle montra beaucoup de ténacité et de pugnacité, notamment dans la défense de l’Appellation Fleurie.
Marguerite Chabert restera le personnage-clé de l’histoire de la Cave de Fleurie. Deux cuvées portent aujourd’hui son nom.
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